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jeudi 20 mars 2014

La résidence universitaire GROUCHMANN : une esbroufe

Bientôt une résidence universitaire au Vésinet. C'est ainsi que débute un des articles du blogue de M. GROUCHKO.
Sans aucune vergogne l'article décline ce prétendu projet consistant à réaliser sur les trois parcelles à proximité de la gare du Centre, actuellement occupées par le magasin PICARD Surgelés, le Restaurant L'ESPANTE et l'hôtel, une résidence de 100 logements étudiant.
Entraîné par son enthousiasme M. GROUCHKO affirme : " Comme la plupart des étudiants sont éligibles à l’allocation logement (APL), ce bâtiment aura le statut de résidence sociale, ce qui nous permettra de permettra de réduire notre déficit en logements aidés. Aucun coût pour la ville ! Le bailleur social réalise le projet directement avec le propriétaire actuel du terrain et ses locataires, la Ville validant la qualité architecturale et son intégration dans le centre –ville. "

Interrogé sur ce projet lors de la dernière séance du Conseil Municipal M. GROUCHKO, sans ciller, a affirmé péremptoire que tout était sous contrôle. Le magasin PICARD savait à quoi s'attendre et ne ferait aucune difficulté. On le relogerait dans des préfabriqués installés sur le parking devant la gare le temps des travaux.
Quant aux gérants du restaurant et de l'hôtel, ils n'étaient pas aux normes et se réjouissaient de la proposition de la Ville. B. GROUCHKO est allé jusqu'à comparer son projet avec la réalisation des 14 logements de la résidence Joséphine BAKER au dessus de la boulangerie DEPUSSAY.

M. GROUCHKO a, à cette occasion, magistralement prouvé qu'il ne connaissait ni l'histoire de la Ville (la résidence Joséphine BAKER que tout le monde apprécie a coûté de l'argent à la Ville), ni les réalités économiques (une ordonnance de 1953 régit les évictions de locataires et le non-renouvellement de baux commerciaux).
Pour mémoire la société d'HLM qui a construit les 65 logements sociaux de la rue circulaire a perdu 5 ans et plusieurs dizaines de milliers d'euros pour avoir cru qu'elle viendrait à bout sans respecter l'ordonnance du salon de coiffure installé dans le pâté de maison.

Imaginez ce qu'il en coûterait pour l'éviction d'un commerce de bouche comme PICARD ou pour le restaurant l'ESPANTE.


De façon surprenante ni la famille CAMUS (Hôtel - Restaurant), ni la société de gestion du commerce de surgelés n'ont souvenir d'avoir été contactés par la Ville et encore moins d'avoir accepté d'être déplacés pendant le temps de travaux.

Cette esbroufe ressemble sur une plus grande échelle à l'épisode du Presbytère imprudemment identifié par M. GROUCHKO comme espace dévolu  à la construction de logements sociaux.

Le hic c'est que désormais entre les projets irréfléchis de M. GROUCHKO et la réalité il n'y a plus la protection que représentait M. JONEMANN.

1 commentaire :

  1. Admirez le mépris pour les étudiants, pouvant servir de "baby-sitters" ou de "répétiteurs" pour les enfants nantis de la ville, mais un peu largués à l'école!!! Si j'étais étudiant, je ne voterai pas pour ce candidat qui a une telle image des étudiants, datant des années 60 ou 70 !

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