Parce que le Vésinet le vaut bien !
Regroupement de personnes physiques et morales partageant la même volonté d’assurer
la préservation du site et de la qualité de vie exceptionnels de la commune du Vésinet.
Avec le concours d’élus et d’anciens élus de tous bords et sensibilités.
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vendredi 28 février 2014

Sera ce suffisant ?

Leur blogue aura bientôt deux mois. 

Ils y ont déployés des méthodes récentes, modernes. 
Pour leurs concepteurs, variance, espérance et MEDAF n'ont pas de secrets.

Forts de leur savoir-faire, ils ont donc souhaité recourir aux réseaux sociaux, facebook en particulier.

Depuis bientôt un mois ils affichent que 135 personnes les aiment. 

Mais depuis un mois pas une nouvelle personne ne s'est ajoutée. Les Vésigondins regardent et n'adhèrent pas.

135 personnes. Ce n'est pas beaucoup.

Sera-ce suffisant pour gagner des élections ?

mardi 25 février 2014

23

Ils sont déjà 23, si l'on en croit la photo publiée sur le blogue de M. Bastard de Crisnay. 12 hommes, 11 femmes et au moins un couple, M. CAUSSIN et Mme CEZARD. 
C'est loin des 28 de M. GROUCHKO mais pas très loin des 24 de M. MICHEL.
On n'y retrouve pas M. SERIEYX. Mais on y retrouve plusieurs de ceux qui professent sur le blogue le pourquoi de leur ralliement Mmes LECLERC-GAUTHEROT et PREVOT-HUILLE ainsi que MM. MAURY et BONNIN.

L'enthousiasme des débutants ne protégeant pas du ridicule on décernera une mention spéciale à M. MAURY, ancien médecin, ancien chef scout, personnage respectable et respecté qui n'hésite pas à déclarer : 
"Nous devons combattre farouchement les ennemis de notre magnifique cité. Voici leurs propositions souvent cachées par un discours ésotérique :
Construction d’immeubles, diminution des espaces verts, augmentation des impôts, faible entretien de la voirie , commerces peu nombreux et sans identité (agences bancaires trop nombreuses), absence d’animations, place du marché convoitée par les promoteurs et des listes électorales folkloriques, dépenses publiques en augmentation, promesses électorales non respectées, absence de démocratie etc….."
 
Heureusement que M. MAURY n'aura pas été jusqu'à nous dire quels sont ces ennemis qu'il entend combattre farouchement avec l'aide de Philippe BASTARD de CRISNAY.

Josyane et l'interco

Depuis dimanche soir un nouvel article sur le blogue de Mme HUSSON nous apprend que le 23 et le 30 mars nous voterons pour les conseillers communautaires.
C'était une occasion en or pour que Josyane nous explique ces projets à ce propos. A l'instar d'un Philippe BASTARD de CRISNAY qui nous apprenait dès le début février qu'il briguerait la délégation "Transports" Mme HUSSON aurait pu nous dire quelles étaient ses ambitions en relation avec la Communauté de Communes.
Las ! Peut-être fatiguée d'avoir démarrer très tôt Mme HUSSON se contente d'un lien vers la C.C.B.S. pour nous expliquer en 3 minutes l'intercommunalité.
Nous vous proposons comme alternative notre article du 17 janvier qui n'a pas vieilli.

dimanche 23 février 2014

Villes et villages fleuris

Gares et villages coquets
La « culture de la Fleur » dans la sphère publique doit son succès au développement des sociétés d'horticulture au XIXème  siècle qui valorisent les qualités sanitaires et hygiéniques de la plante. Cette époque correspond aux premiers déplacements de touristes français et européens. Les visiteurs traversent le territoire pour se rendre sur leurs lieux de villégiature en utilisant le plus souvent les transports ferroviaires. Un réseau qui n'a pas été conçu à l'origine pour les déplacements touristiques et qui n'offre donc que très rarement les agréments attendus par une clientèle touristique naissante. C'est dans ce contexte que le Touring Club de France institue un concours pour encourager les chefs de gares et les hôteliers à fleurir leurs lieux d'accueil et à soigner la propreté de ces lieux. Fort du succès de cette opération, le Touring Club de France étend la démarche aux communes et organise dès les années 1920 le concours des « Villages Coquets» qui sera interrompu en 1939.
 
Naissance de la campagne « Fleurir la France »
Un circuit de « Routes Fleuries » est mis en place par le Touring Club au début des années 1950 en collaboration avec le journal horticole Rustica et l'Association des horticulteurs. Fort de ce succès et de l'engouement de l'Hexagone pour cette campagne de fleurissement, Robert Buron, ministre des Transports, des travaux Publics et du Tourisme met en oeuvre le concours national des Villes et Villages Fleuris qui voit le jour en 1959. Dès la première année, 600 communes s'inscrivent au concours. Pour satisfaire le nombre croissant de communes souhaitant participer, les inscriptions sont très rapidement confiées aux préfectures qui établissent un palmarès départemental. Une première présélection, affinée par le Délégué Régional au Tourisme sert de base pour l'attribution du label par le ministère.
En 1988, dans le contexte de la décentralisation et presque trente ans après sa création, l'organisation locale du concours est confiée aux Conseil Généraux qui recueillent les inscriptions et aux Conseils Régionaux qui ont à partir de ce moment la charge d'attribuer les trois premiers niveaux du label. Le slogan « Fleurir, c'est accueillir » apparaît alors pour mobiliser ce réseau autour d'un objectif réaffirmé d'accueil touristique.
La quatrième fleur ne peut être attribuée que par le Jury National.
Alors que le concours est à l'origine piloté directement par les services de l'État, la coordination nationale est assurée depuis 1972 par le Comité National pour le fleurissement de la France, association loi 1901, rebaptisée Conseil National des Villes et Villages Fleuris lors d'une réforme statutaire en 2001.

Aujourd'hui, un label au service de la qualité de vie des communes
Au-delà de son caractère de récompense officielle, le label garantit une qualité de vie et témoigne d'une stratégie municipale globale et cohérente.
Dans un contexte croissant de compétitivité des territoires, les communes labellisées se donnent les moyens d'offrir une image et un environnement favorable à l'attractivité touristique, résidentielle et économique. Cette valeur ajoutée constitue un élément fort qui motive les élus à participer au label.
Les critères d’attribution, à l’origine dédiés à la qualité esthétique du fleurissement, ont progressivement laissé une place prépondérante à la manière d’aménager et de gérer les espaces paysagers, pour valoriser la qualité de vie des résidents et des visiteurs.

Fleur d'or
Depuis 2010 la fleur d'or s'est substituée au Grand Prix National du fleurissement. 
Cette distinction récompense une ou plusieurs communes classées 4 fleurs au Palmarès Régional de l'année précédente. Ce label est attribuée pour une durée de 3 ans et peut être renouvelé par l'Association Villes et villages fleuris.
D. Jonemann et les Services de la Ville, le 21 février 2014 au Pavillon d'Ermenonville pour l'attribution de la Fleur d'Or 2013

Le Vésinet
Voici ce qu'indique le site de l'association pour commenter l'attribution au Vésinet de la fleur d'or faisant suite à l'attribution du label 4 fleurs en 2012. Précisons que toutes les équipes municipales ont accompagnées les services de la Ville pour lui permettre d'obtenir cette récompense sans discontinuer depuis de nombreuses années.
Les Yvelines ne comptent que deux communes classées 4 fleurs.
Un fleurissement remarquable par son originalité et son élégance, au cœur d'une véritable forêt.
Le Vésinet est né d'une opération immobilière menée au siècle dernier, qui apparaît aujourd'hui comme un exemple d'urbanisme paysager unique en France : le site est d'ailleurs classé. Au début était la forêt du Vésinet, terrain de chasse pour les différents rois qui résidèrent au Château de Saint-Germain-en-Laye. La société Pallu en fait l'acquisition en 1856 et le projet du parc fut confié au Comte de Choulot, paysagiste, assisté de Pierre-Joseph Olive, architecte. Cette composition reste très lisible. La trame boisée est très dense et les transitions sont créées par des liaisons paysagères remarquables : coulées engazonnées, lacs, îles et rivières, grandes avenues bordées d'arbres. Le style du fleurissement s'intègre à ce site si particulier : d'aspect naturel mais en même temps sophistiqué dans les harmonies des couleurs, des volumes et des graphismes des plantes.

vendredi 21 février 2014

Tirage au sort

La période dépôt des candidatures est ouverte depuis jeudi dernier 13 février. Elle s'achèvera le jeudi 6 mars à 18 heures.
Le vendredi 7 aura lieu le tirage au sort de l'ordre des panneaux électoraux.
Pour Le Vésinet c'est l'urne n°7 qui livrera le verdict.

Quitte ou double ?

http://demainlevesinet.fr/philippe-bastard-de-crisnay-sadresse-aux-commercants-du-vesinet/
Philippe BASTARD de CRISNAY s'adresse aux commerçants dans une vidéo diffusée sur son blogue.

Il ne veut pas traiter simplement de l'avenir de la Place du Marché mais traiter le Vésinet globalement. La Place du Marché et la Place de l'Eglise, les commerces et les prestataires de service.

Son objectif est de faire revenir les Vésigondins en Centre Ville.

C'est louable et nous l'en louons. Mais s'il vous plait M. B2C, dans ce monde d'incantations plus ou moins pieuses, si vous nous en disiez un peu plus. 

Juste que l'on est pas l'impression de jouer à quitte ou double.
 

Enfin des questions concrètes !


Le sujet est compliqué. 
La loi de 1959, dite Debré, fait obligation aux communes de verser aux écoles primaires de l'enseignement privé sous contrat avec l’État une même subvention par enfant de la commune que ce qu'elles dépensent pour les enfants scolarisés dans le public.

Cette obligation se heurte fréquemment à des considérations qui peuvent aller de l'idéologique à l'économique. 

De plus la Loi n'a jamais été révisée ce qui aboutit à des ambiguïtés. 
Par exemple l'école maternelle n'entre pas dans le champ de la Loi parce qu'en 1959 ces classes étaient quasi inexistantes sur le territoire. La plupart des communes et en particulier Le Vésinet subventionnent néanmoins les enfants de maternelle. 
Il faut dire qu'il en coûterait davantage de devoir ouvrir les classes correspondantes si les établissements privés disparaissaient.

Le Vésinet a cette particularité de compter trois établissements privés sur sa commune : Sainte Odile à l'Ouest avec un peu plus de 200 enfants scolarisés dont une partie provient du Pecq, Sainte Jeanne d'Arc au Centre avec un peu plus d'élèves et à l'Est le Bon Sauveur, un gros établissement dont l'adresse est au Vésinet et la quasi totalité de la superficie à Chatou.

Du temps du Dr MUREZ, la Ville de Chatou accordait des subventions pour tous les enfants catoviens scolarisés à Jeanne d'Arc et au Bon Sauveur. Ghislain FOURNIER a décidé de supprimer ces subventions malgré la forte proportion d'enfants de Chatou qui fréquentent le Bon Sauveur.
Cliquer sur l'image pour afficher le questionnaire
Au Vésinet, depuis un coup de pouce sensible accordé par l'équipe de M. FOY en 2003, 2004 et 2005 pour remettre à niveau les forfaits scolaires, la situation n'a plus guère évolué et certains des établissements connaissent de vraies difficultés ce qui est d'autant plus consternant que la commune n'aurait pas les moyens de scolariser tous les enfants si les écoles privées devaient fermer.

La question posée ce jour par le Président de l'Association pour l'Encouragement et le Développement des Œuvres Educatives Scolaires et Post Scolaires du Vésinet à tous les candidats déclarés est donc non seulement pertinente mais même vitale.

Celui que PHENIX a surnommé Léon XIII sait que c'est un des points importants pour choisir le futur Maire du Vésinet.
Léon XIII est connu pour avoir été un homme de son temps. Un progressiste qui a traité de nombreux sujets dans ses encycliques - au nombre de quatre-vingt-six - qui eurent une influence notable sur la participation des catholiques aux grands débats intellectuels et socio-politiques de leur époque. Il est en particulier l'auteur de la première encyclique "sociale", "De rerum novarum", qui a permis aux Catholiques de rester en phase avec l'évolution du monde.
Le Vésinet est une ville qui rajeunit grâce à l'arrivée de jeunes parents et de leurs enfants. 

Cela ne durerait pas si les établissements privés devaient péricliter.

Merci !

Vous avez beau êtes tous partis aux sports d'hiver, après une baisse de régime probablement pour cause de trajets vous avez été nombreux à marquer votre intérêt pour nos articles. Merci.

jeudi 20 février 2014

Didier, Martine et l'acte d'abandonnement

"De son côté la commune du Vésinet substituée purement et simplement à la Société Pallu & Cie dans les termes du Cahier des Charges devra maintenir sans jamais pouvoir les aliéner les voies de communication, places, coulées et pelouses et conserver leur destination primitive."

C'est le 9ème paragraphe de l'article 1 de l'Acte d'abandonnement et d'Acceptation du 11 février 1876, acte unilatéral par lequel la société PALLU et Cie réitérait les "Abandonnements, concessions et avantages" qu'elle avait offert à la Commune en devenir dès 1872.

C'est au nom de cet acte et des obligations qu'il contient pour la Ville du Vésinet que Martine OFFANT-RIVASI, colistière de D. JONEMANN (à l'époque dans l'opposition à M. FOY) s'était opposée à  la révision simplifiée du P.O.S. de 2005 (révision nécessaire au projet de construction de la Médiathèque).

Le Tribunal Administratif, tout en reconnaissant la validité de l'Acte d'Abandonnement, avait conclu que le projet de M. FOY ne contrevenait pas à celui-ci.

Il en irait bien différemment si M. JONEMANN ou ses successeurs venaient à vouloir construire des logements sur la Place du Marché. Pas plus l'intérêt général qu'une destination universelle ne pourraient être invoqués pour justifier l'aliénation ou le changement de destination.

C'est pourtant ce que le Sous-préfet de St Germain en Laye a indiqué être le projet de la municipalité en page 3 de son courrier du 2 janvier 2014, courrier dont M. CHESNAIS a distribué copie lors de la séance du Conseil Municipal du 13 février dernier.

Interpellé sur ce point le Maire a été très évasif et peu convaincant. 

Sollicité pour donner son point de vue le Maire-adjoint en charge de l'urbanisme et candidat aux prochaines élections s'en est sorti par ce que les participants sont convenus d'appeler une pirouette.

Sa position était délicate mais il faudra que le candidat dise clairement s'il entend lancer Le Vésinet dans une telle aventure.

En construction

Il reste précisément 4 semaines et 3 jours avant le premier tour. Aucun des prétendants n'a encore abandonné ses prétentions.
Une indication toutefois : la rubrique "Projet" de M. GRIPOIX est toujours en construction. Mais peut-être vise-t-il mars 2020 ?

D. Jonemann revient

C'est un éditorial de D. JONEMANN en forme de plaidoyer pro-domo qu'affiche le blogue de B. GROUCHKO.

Oh il n'est pas mauvais, même pas vraiment contestable.

Il dit tout le bien que Monsieur JONEMANN pense de son PLU et tout le mal qu'il pense de ses deux prédécesseurs.

Si c'est son chant du cygne, un témoignage qu'il veut inscrire au panthéon vésigondin pour que les générations à venir lui rendent hommage, pourquoi pas.

Mais M. JONEMANN doit comprendre que la période vise l'avenir, pas le passé.

Que ce n'est pas tout d'avoir voté ce PLU qu'il faut désormais l'appliquer, le faire vivre et même le faire respirer.

Que M. JONEMANN comprenne qu'il n'est plus temps de vouloir être un acteur de premier plan sur le blogue de M. GROUCHKO. La campagne est lancée et il n'y a pas la place pour une direction bicéphale.

Si M. JONEMANN veut se tresser des lauriers il a le site de la Ville et la revue municipale...

                                   ... dès qu'il aura annoncé son retrait de la campagne.


Mais peut-être que, pour imiter Cioran, M. JONEMANN se demande 

"pourquoi se retirer et abandonner la partie, 
quand il reste tant d'êtres à décevoir ?"

mercredi 19 février 2014

Le ton monte sans que le niveau prenne de la hauteur...


Chers amis Vésigondins,

Il est étonnant qu’il soit possible d’énoncer de façon anonyme des mensonges et autres contrevérités, ici concernant ma soit-disant présence sur l’ensemble de la période du choix de l’aménageur d’à peine 10 minutes en data room.
Et encore plus étonnant que je me retrouve sommée de me justifier lorsque je me permets de dire que c’est un mensonge !
Et comme si cela n’était pas suffisant, suit une deuxième attaque anonyme aussi.
Si je m'explique encore de la deuxième, quelle sera la troisième ?!

Il serait souhaitable que le blog ne se fasse pas naïvement le relais d’allégations anonymes, qui contribuent à entretenir le climat délétère que nous connaissons malheureusement au Vésinet depuis plusieurs années.

C’est pourtant bien au colistier anonyme de Grouchko/Jonemann d’apporter la preuve de ce qu’il avance dans l’article « Pourquoi ne parlent-ils pas plus souvent ? » en publiant les éléments dont il disposerait qui infirmeraient mes propos sur mes visites successives dans la data room.

Mais peut-être ne l’ose-t-il pas car que penseraient les Vésigondins s’ils constataient que celui qui a la charge du projet d’aménagement des terrains de l'hôpital, est président de la commission du choix de l’aménageur, est en charge de l’urbanisme, et est candidat aux municipales, n’a jamais mis les pieds dans la data room avant de sélectionner l’aménageur.

Cordialement,

Emmanuelle Séjourné-Chesnais

Objectif ? objections !

Il a annoncé sur le blogue de M. BASTARD de CRISNAY qu'il le rejoignait. Nous avons consacré un article à sa biographie. 

L'homme est évidemment une pointure. 

Mais ce spécialiste de la pénétration de la pensée complexe dans le management est-il objectif quand il analyse les raisons qui l'ont poussé à cette décision ?

    
  • Il déclare avoir d'abord
    apprécié le courage de celui qui a accepté spontanément de combler le vide laissé par le départ de R. VARESE pour raison de santé.
    La déclaration laisse songeur !  
    Chacun sait que M. VARESE n'a pas démissionné pour raison de "santé" (sauf à faire un très mauvais jeu de mot avec une institution peu glorieuse).
    Chacun sait aussi que sa démission ne laissait aucun vide. M. VARESE ayant adoubé avant de partir Abel VINTRAUD
                 
              
  • Il a ensuite trouvé
    bien peu responsable le petit complot ourdi par quelques médiocres ambitieux pour l'empêcher de mener à bien la fin de son mandat.
    La déclaration laisse encore plus songeur !
    Sans vouloir nous immiscer dans les jugements d'un si réputé spécialiste, conseil des gouvernements, de droite comme de gauche, nous aimerions rappeler ce que M. SERIEYX semble avoir oublié :
la grande mobilisation de 5 associations (dont le très ancien et très respectable Syndicat d'Initiative et de Défense du Site),
les centaines de signatures qui ont été recueillies dans des pétitions à l'encontre du projet de P.L.U. de janvier 2013 (le chiffre de 1.500 signatures a été avancé),
l'intransigeance de M. Bastard de Crisnay  tant face à ces pétitions, que face à l'opposition de la quasi moitié du Conseil Municipal.
                     
                   
  • Il a enfin constaté que 
"l'équipe sortante a montré en quelques mois l’opacité de son action et la légèreté de ses décisions manifestant ainsi son peu d’aptitude à conduire plus longtemps le destin de notre beau Vésinet. "
La déclaration semble manquer d'étoffe.
Elle parait bien peu justifiée, bien peu étayée, venant d'un spécialiste consulté par tous. Ne pourrait-il expliquer son raisonnement, comme il le faisait du temps qu'il écrivait.


 
Saint Hervé est le patron des bardes bretons. Il est invoqué pour les maladies des yeux, la guérison des peurs, des angoisses et de la dépression nerveuse, pour repousser les démons et faire cesser les coassements des grenouilles.

Nous ne savons comment il s'y prend mais doutons que Hervé SERIEYX ait pris conseil auprès de son saint patron. 

A moins qu'il n'ait nullement voulu guérir la myopie, ramener calme, sérénité et tranquillité, éloigner les mauvais esprits et faire taire les médisants.

mardi 18 février 2014

Une pointure pour Le Vésinet ?


http://www.dailymotion.com/video/xwt1xl_portrait-herve-serieyx_webcam
Cliquer sur la photo - interview 2013 de H.SERYEIX
Né en plein Front Populaire, la veille d'un feu d'artifice à Ploemeur dans le Morbihan, Hervé SERIEYX se définit lui-même comme faisant partie des rares français à avoir été à la fois :
  • à l'Université (il était professeur associé à PARIS VIII - Saint Denis)
  • dans l'Entreprise (il a entre autres été D.G.A. du groupe LESIEUR et PDG de 2 entreprises de Conseil, GMV et Quaternaire) et 
  • dans ce qu'il appelle la para-fonction publique (il a été choisi par Alain JUPPE et conservé par Lionel JOSPIN pour être pendant 3 ans délégué interministériel à l'insertion des jeunes en difficulté).

Il a aussi été Conseiller du Commerce Extérieur et membre du Conseil Économique et Social. Il a enseigné à l'Institut Européen des Affaires, au collège des Ingénieurs, à l’École des Mines. Il a été maître de Conférence à l’École Nationale d'Administration (E.N.A.) et a présidé le Conseil d'Administration de l'Institut Régional d'Administration de Lille.

Le portrait de celui que beaucoup considère comme un spécialiste du "Management" ne serait pas complet sans rappeler qu'il est officier de la Légion d'Honneur et de l'Ordre National du Mérite et qu'il a écrit ou co-écrit plus d'une vingtaine de livres spécialisés dont quelques "Bestsellers" - Entreprise du troisième type - Zéro Mépris - Big bang des organisations, traduits en plusieurs langues.

Il se définit comme un homme libre, plutôt centriste, démocrate et pour l'alternance. Il ne croit pas que les partis politiques changeront quoique ce soit.

Il fut conseiller municipal du Vésinet et voici ce qu'en écrivait Alain JONEMANN.

Hervé SERIEYX (1977-1983) Diplômé de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris
Directeur de sociétés
Au VESINET depuis 1967
Conseiller Municipal depuis 1977. Membre des Commissions de l'Equipe ment des Affaires Culturelles, de la Jeunesse et des Sports, de l'Information, homme de dialogue et de communication, il fut entre autres, l'organisateur excellent des séminaires de réflexion du Conseil Municipal. S'est fait remarquer par son intelligence, son imagination, son sens du dialogue.
A dû quitter l'équipe à la suite d'un changement d'activité professionnelle et fait partie maintenant du brain-trust d'un de nos plus importants groupes Industriels.

Il vient d'annoncer qu'il rejoignait l'équipe de Philippe Bastard de Crisnay. 

Celui qui les aurait fait se rencontrer c'est Alain GOURNAC l'ancien maire du Pecq et Sénateur des Yvelines. 

Chargé en 2003 par Jean-Pierre RAFFARIN d'une mission d'étude sur l'insertion dans la vie civile (Contrat CIVIS), ce dernier a rencontré M. SERYEIX à cette occasion. 

Il a par ailleurs suscité la candidature de M. BASTARD de CRISNAY après la démission du calamiteux M. VARESE en 2011.

Une question reste pendante : Si M. BASTARD est élu est-ce que M. SERYEIX qui est invité à tous les bouts de notre pays et à l'international s'impliquera dans la gestion de notre Ville ?

On se rappellera que M. BASTARD avait dressé un panégyrique de M. VARESE lors de la campagne de 2008 pour ensuite ne siéger qu'une fois sur deux en tant que simple Conseiller Municipal.


A truqueur, truqueuse et demie

Un de nos lecteurs a suggéré dès hier matin que les affirmations de Mme CHESNAIS (SEJOURNE) ne seraient peut-être pas aussi évidentes qu'il n'y paraissait. Ce faisant il interpellait Mme SEJOURNE dans ces termes :
Il se dit même que la date a été modifiée ... ! Mme Chesnais n'aurait pas séjourné dans la data room aux heures et dates enregistrées.

J'espère que Mme Chesnais aura à cœur de démentir cette information qui a circulé. Une diffamation à mettre au compte des sortants, ou une manipulation qui aurait été découverte par les services ?

Merci Mme Chesnais de vous expliquer. puisque des preuves existeraient de cette modification. (Petite souris généralement bien informée)
Mme SEJOURNE n'a pas répondu. Notre lecteur est revenu à la charge hier au soir :
Je note que Mme Chesnais ne me contredit pas ... celle qui emploie les grands mots "probité, engagement, sérieux" aurait - elle été prise la main dans le sac.

L'affaire est d'importance à la veille des élections. Si le bordereau (ça rappelle une célèbre affaire) a été modifié on est face à une falsification, plus grave à une faute d'honneur, surtout si l'on prétend à tort que celui ci a été bafoué.

L'exigence de vérité réclamée par Mme Chesnais dans ce droit de réponse impose qu'elle réponde à la question simple : le bordereau sur lequel sont consignées les entrées sorties dans la data room - lieu protégé pour garantir l’honnêteté de la sélection - a -il été anti daté pour consigner sa visite antérieurement à son passage ?

Petite souris le prétend ... Mme Chesnais peut- elle démentir cette information sur ce blog, au risque de voir les contre preuves publiées ? 
C'est d'autant plus surprenant que Mme SEJOURNE affirmait avoir pris des photos qu'elle disait tenir à disposition en cas de besoin. Clairement le besoin est là. 

Déjà certains se demandent si le fait d'avoir éprouvé le besoin de prendre des photos n'est pas, par lui même, révélateur d'une manipulation.
 

lundi 17 février 2014

DROIT DE REPONSE


Emmanuelle SEJOURNE n'a pas apprécié d'être mise en cause par notre interlocuteur sur la Liste GROUCHKO/JONEMANN. 
Elle ne l'envoie pas dire. Nous la comprenons si les faits présentés ont effectivement été ainsi déformés. 
Pour être transparents nous avouons ne pas avoir vérifié les cahiers d'émargement, ne pouvant imaginer que des informations aussi facilement vérifiables soient truquées. 
Nous espérons bien que notre interlocuteur confirmera ou infirmera ses propos et publierons bien évidemment sa réponse.
Bonjour,
Stanislas Chesnais et moi même n'avons pas pour habitude d'intervenir dans les blogs.
L'objet de mon message n'est pas de commenter l'ensemble des propos ci-dessus mais la seule allégation me concernant personnellement selon laquelle je ne serais restée que 10 minutes dans la data room.
En effet, cette allégation met gravement en cause ma probité, mon engagement et mon sérieux.
Prétendre que je n'aurais passé que 10 minutes sur un dossier aussi important que celui des aménageurs est mensonger. Cela est d'autant plus problématique que le blog indique "avoir vérifié au mieux les informations".
Je tiens donc à préciser que je suis allée dans la data room consulter les dossiers des aménageurs les 17 Juin, 19 Juin, 05 Juillet, 09 Juillet et 18 Décembre, dont une fois d'ailleurs concomitamment à François Jonemann à qui j'ai même offert un café ! J'ai également assisté aux deux journées complètes de consultations orales des aménageurs et aux commissions ad hoc à l'exception d'une pour un grave problème familial.
Tout ceci est donc bien au delà des 10 minutes qui me sont prêtées.
Et pour ceux qui douteraient encore de ma parole, sachez que je dispose des photographies du cahier d'émargement relevant les accès à la data room et le temps passé par chacun.
J'avais pris ces photos, édifiée par ce que j'y constatais lors de mes séances de travail. On y découvre ceux qui y sont allés et ceux qui n'y ont pas mis les pieds... non sans surprise...
Cordialement,
Emmanuelle Séjourné-Chesnais