Il est étonnant qu’il soit possible d’énoncer de façon anonyme des mensonges et autres contrevérités, ici concernant ma soit-disant présence sur l’ensemble de la période du choix de l’aménageur d’à peine 10 minutes en data room.
Et encore plus étonnant que je me retrouve sommée de me justifier lorsque je me permets de dire que c’est un mensonge !
Et comme si cela n’était pas suffisant, suit une deuxième attaque anonyme aussi.
Si je m'explique encore de la deuxième, quelle sera la troisième ?!
Il serait souhaitable que le blog ne se fasse pas naïvement le relais d’allégations anonymes, qui contribuent à entretenir le climat délétère que nous connaissons malheureusement au Vésinet depuis plusieurs années.
C’est pourtant bien au colistier anonyme de Grouchko/Jonemann d’apporter la preuve de ce qu’il avance dans l’article « Pourquoi ne parlent-ils pas plus souvent ? » en publiant les éléments dont il disposerait qui infirmeraient mes propos sur mes visites successives dans la data room.
Mais peut-être ne l’ose-t-il pas car que penseraient les Vésigondins s’ils constataient que celui qui a la charge du projet d’aménagement des terrains de l'hôpital, est président de la commission du choix de l’aménageur, est en charge de l’urbanisme, et est candidat aux municipales, n’a jamais mis les pieds dans la data room avant de sélectionner l’aménageur.
Cordialement,
Emmanuelle Séjourné-Chesnais
Mme CHESNAIS/SEJOURNE nous prend-elle pour des quiches ?
RépondreSupprimerPense-t-elle nous faire croire que M. GROUCHKO devait se rendre dans la Data-room pour étudier le dossier dont il est chargé ?
Les contre-feux sont efficaces Mme SEJOURNE quand on a des munitions. Si non on fait mieux de ne pas s'activer sur de mauvaises cicatrices.
Si la petite souris dit vrai : faux et usage de faux dans une procédure publique c'est encore plus grave qu'en droit civil.
Et qu'est-ce qu'il pense de cette potacherie le Stan qui est candidat. Encore un qui est affublé d'une "Rotweiler" !
Pour des quiches certainement pas, par contre une quiche pour le coup c'est sûr puisque les frères Jonemann dont l'avocat en charge de la rédaction du projet de traité de concession d’aménagement (TCA) des terrains de l’Hôpital voté par le conseil municipal du 13 février sont eux bien passés à la data room; à ce demander si l'on croit ce "vésigondin consterné" ce qu'ils sont donc y aller faire ? Mais ne serait-ce que par politesse, notre maire adjoint aurait dû s'y rendre pour répondre aux très nombreuses questions qu'un conseiller municipal lecteur attentionné n'aurait pas manqué de poser pour peu qu'il s'intéressait au projet, comme c'est d'ailleurs l'usage dans les data room à l'occasion d'opérations de rachat d'entreprises.
SupprimerQuant au terme faux et usage de faux je laisse à cet anonyme à l'évidence véritable amateur du droit public la responsabilité de l'usage de tels termes; sans doute une bonne occasion de se taire !
Enfin, le fait de signer ses commentaires sous l'anonymat n'interdit pas de rester poli et de vérifier son orthographe, encore un analphabète me direz vous... Manifestement si le rottweiler est un excellent chien de chasse c'est aussi, un excellent chien de compagnie, très affectueux, traits de caractère qui ne paraissent pas correspondre au profil de notre "vésigondin consterné" mais également fort agressif notamment à l'adresse de la gente féminisme.
Je ne sais pas très bien à quoi rime toute cette discussion. En tout cas en tant qu'électeur de base ayant assisté aux derniers conseils municipaux, je ne sais pas si Mme Séjourné est restée 10 mn ou 1 heure dans la data room, mais l'absence de contenu de son intervention pendant le dernier conseil tenterait à prouver qu'elle n'en n'a pas tiré grand chose.
RépondreSupprimer2 choses :
RépondreSupprimerCe qui est dit sur Madame Sejourné et la falsification de documents publics est tellement grave que l'anonyme ayant lancé ce scud devrait écouter la supplique de Mme Chesnais : qu'il le prouve.
Pour ce que Madame Sejourné en a compris, l'écouter ânonner péniblement lors du dernier conseil un papier qu'elle ne maîtrisait visiblement pas , a été un vrai supplice.
Madame Chesnais,
RépondreSupprimerCe que vous dites est affligeant de bêtise.
Vouloir que celui qui constitue la data room , aille y faire acte de présence, des fois que.... il y manque quelque chose, ou qu'il y ait des gens sympas à rencontrer ...
C'est peu dire que je me marre !
RépondreSupprimerIl a suffit que j'insinue que le bordereau a été trafiqué pour que Mme Chesnais se croit obligée d'en faire une tartine mais évite soigneusement de répondre à la question simple : le bordereau a-t-il été antidaté ?
Qu'elle se sente visée, qu'elle se soit crue obligée de prendre des photos, qu'elle prenne pour argent comptant une astucieuse désinformation aura permis de mettre à nu la vraie personnalité de Mme Chesnais. Une intrigante manipulatrice et une débutante amatrice capable de glisser sur une peau de banane de la première souris venue !
C'est pas avec ces gens là qu'on va gérer le Vésinet !
Minnie
Ouais, bof !
SupprimerMme CHESNAIS a sûrement quelque chose à dissimuler.
Le fait qu'elle ait cru nécessaire de prendre des photos en atteste.
Mais y aller au flanc pour qu'elle révèle qu'elle n'est pas blanc-bleu, c'est limite.
On dirait du Phénix.
Oui, la petite souris, ça commence à bien faire...Il est très facile d'insinuer sans preuves, de laisser planer des doutes, de faire l'initié-qui-sait-tout, etc...C'est une méthode bien peu honnête, et qui rappelle les grandes heures de notre histoire - en fait les plus sales - où chacun pouvait soupçonner l'autre - surtout son voisin - afin de faire douter tout le monde de tout le monde. C'est très révélateur d'un climat complétement pourri, où la haine l'emporte sur tout le reste.
SupprimerAlors, la "petite souris", il faut maintenant se dévoiler, ou arrêter immédiatement ce qui parait n'être, pour le moment, qu'un vil déballage de haine bien recuite...
Alors, les preuves, elles sont où ???
Toujours rien de plus de la part de la "petite sourie phénixienne"...Crachez, crachez, il en restera toujours quelque chose. C'est Staline qui le disait...
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