Parce que le Vésinet le vaut bien !
Regroupement de personnes physiques et morales partageant la même volonté d’assurer
la préservation du site et de la qualité de vie exceptionnels de la commune du Vésinet.
Avec le concours d’élus et d’anciens élus de tous bords et sensibilités.
_______________________________cliquez sur les liens ci-dessous
_____________________________RETOUR A LA LISTE DES ARTICLES
_______________________________LES PROCHAINES SÉANCES
______________________________
__________________
__________________
_________________________________________________

samedi 25 janvier 2014

Jonemann refuse l'ouverture

Il semble avoir fait son deuil.
Il était bien présent ce samedi matin, tant au marché qu'à la permanence rebaptisée Grouchko, du nom d'un célèbre avionneur du coin dont il faudra un jour rappeler les exploits.
Lui c'est le Maire. Didier JONEMANN, fils de l'un, frère de l'autre.
Celui qui, sur le tract, est désormais à la droite du nouveau père (pardon Maire). En sursis dans l'attente de la décision du Conseil d’État.

Présenté comme l'un des prochains adjoints il est peut-être en train de chauffer la place pour François GLUCK dont la présence sur la photo confirme les bruits qui agitaient le Landerneau vésigondin.
 
Imprudemment Mme HUSSON avait convoqué les Vésigondins et la Presse à 10H30. Elle dit avoir obtenu l'accord verbal du Directeur Général des Services mais M. ELKAEL a signifié le refus du Maire.  Didier JONEMANN a refusé l'ouverture à une liste opposante. 


Usant de son pouvoir de Maire il a fait interdire l'accès à la caverne sous la place. Vous aurez un compte-rendu fidèle de cet épisode sur Yvelines Première qui a filmé toute la scène.

3 commentaires :

  1. C'est vrai que la scène était cocasse, Mme Husson colistière de Varese et Bastard convoquant ses amis à venir admirer son chef d'oeuvre : une caverne en béton brut vide qui a couté 25 M€ à la Ville !
    Elle pensait peut être leur montrer une patinoire en état de marche que l'on aurait cachée aux Vésigondins. On ne peut que se perdre en conjecture devant cette initiative qui n'avait probablement d'autre motif que celui de venir clamer d'être la victime de je ne sais qui, par quelqu'un qui oublie qui elle est.
    D'ailleurs à part ses colistiers, personne ne s'était déplacé.

    RépondreSupprimer
  2. On devrait y retourner tous les samedi a la même heure. ON VEUT VOIR, la première liste qui offre le cafe ou le vin chaud devant les portes de l'antre financier du Vesinet, je vote pour elle.

    RépondreSupprimer
  3. Je confirme: ça chauffait pas mal ce matin entre les hussoniens et les grochkoistes

    RépondreSupprimer