C'est un éditorial de D. JONEMANN en forme de plaidoyer pro-domo qu'affiche le blogue de B. GROUCHKO.
Oh il n'est pas mauvais, même pas vraiment contestable.
Il dit tout le bien que Monsieur JONEMANN pense de son PLU et tout le mal qu'il pense de ses deux prédécesseurs.
Si c'est son chant du cygne, un témoignage qu'il veut inscrire au panthéon vésigondin pour que les générations à venir lui rendent hommage, pourquoi pas.
Mais M. JONEMANN doit comprendre que la période vise l'avenir, pas le passé.
Que ce n'est pas tout d'avoir voté ce PLU qu'il faut désormais l'appliquer, le faire vivre et même le faire respirer.
Que M. JONEMANN comprenne qu'il n'est plus temps de vouloir être un acteur de premier plan sur le blogue de M. GROUCHKO. La campagne est lancée et il n'y a pas la place pour une direction bicéphale.
Si M. JONEMANN veut se tresser des lauriers il a le site de la Ville et la revue municipale...
... dès qu'il aura annoncé son retrait de la campagne.
Mais peut-être que, pour imiter Cioran, M. JONEMANN se demande
"pourquoi se retirer et abandonner la partie,
quand il reste tant d'êtres à décevoir ?"
Être ou avoir été ?
RépondreSupprimerM Jonemann n'aura jamais su se décider, même dans sa chute il n'a pas l'audace de choisir entre affronter l'adversité et mener sa liste, ou se sacrifier et se panthéoniser. Il traine sa misère dans "son" hôtel de ville déserté.
Cette fonction lui est tombée tout cuit grâce à la potion magique d'un Phénix éliminant tour à tour Varèse puis Bastard. Perdue pour perdue il n'aura pas su la transmettre avec l'élégance et le détachement, signature des hommes d'exception.
Arrivé par effraction D Jonemann s'en va penaud s'encensant faute d'être encensé. Une poignée de groupies qui a juré ses grands dieux mettre un terme à son engagement politique si d'aventure il partait reniera sa promesse et sa feinte vénération dès qu'il aura tourné les talons.
Sic transit gloria d'un indécis, tourné vers le passé, nostalgique de papa, de papy !
Bye l'ami, par l’évêque de Meaux
Pas sur que ce candidat "sortant par hasard" ne laisse des souvenirs impérissables au Vésinet, après le 30 mars...Hélas, quand on n'est que "le fils de...", on n'existe pas vraiment...
RépondreSupprimerEffectivement il faut enfin construire l'avenir. Laissons les vésigondins en décider dans leur grande sagesse. Depuis 2008 ils ont fait oeuvre de perspicacité pour contrer des projets néfastes en votant aux trois dernières élections municipales pour le changement.
RépondreSupprimerA la remarque de 22 H 57 : Belle ironie teintée de beaucoup de mépris pour les électeurs...
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